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La pollution et la destruction de notre environnement, ainsi que l’épuisement des ressources naturelles progressent rapidement et sans retenue. On appelle écocide la destruction partielle ou totale des écosystèmes.
Toute vie sur terre, notre coexistence pacifique et notre bien-être dépendent d’écosystèmes : la nature fournit toutes les ressources nécessaires. Nous devrions apprécier et protéger cette générosité.
C’est pourquoi nous demandons que les crimes contre la nature soient reconnus comme écocide. Nous voulons que l’Écocide devienne un crime pour lequel des sociétés et des personnes puissent être jugées responsables selon le droit pénal et le principe de la responsabilité supérieure.
Vous pouvez nous aider à rendre cela possible !
Je vous encourage vivement à signer cette pétition et à la diffuser largement.
Elle est destinée à tous les Européens et est accessible en différentes langues.
Le délai est très court (j’ignore pourquoi) et elle n’a pas encore beaucoup circulé.
Prenez le temps de faire défiler quelques photos et de le lire leur légende…
Je vous transfère ce message d’Agir pour l’Environnement :
La Commission Européenne s’apprête à rendre, le 22 janvier prochain, des recommandations très peu contraignantes pour les Etats membres qui souhaiteraient exploiter les gaz de schiste.
Ces Etats n’auront en effet qu’à rendre un « tableau de bord » prouvant qu’ils respectent les mesures environnementales (contrôle des débits d’eau, des émissions de méthane…).
Bien moins contraignantes qu’une directive, ces recommandations vont laisser la porte ouverte aux gaz de schiste et fermer celle de la transition énergétique car :
– Ces mesures ne sont en aucun cas juridiquement contraignantes pour les industriels,
– C’est un pas de plus vers la légalisation des gaz de schiste en Europe,
– Ces mesures sont en contradiction avec les objectifs climatiques de l’Union Européenne,
– Ces recommandations font la part belle aux lobbies industriels, au détriment de notre environnement et de notre santé.
SIGNEZ la pétition pour que l’UE interdise les gaz et huiles de schiste !
L’exploration comme l’exploitation des gaz et huiles de schiste sont désastreuses :
– Pour notre eau car une fracturation hydraulique nécessite l’équivalent de six piscines olympiques d’eau ajouté à quelques 700 produits chimiques dont 600 nocifs pour la santé.
– Pour nos paysages puisqu’il faut ériger un puit tous les 200 mètres environ. Aux Etats-Unis où l’exploitation est en cours, cela signifie jusqu’à 30 000 nouveaux forages de puits par an.
– Pour notre climat car elle entraîne jusqu’à 9% de fuites de méthane sur tout le cycle de production et qu’au delà de 2,5% de fuites de méthane, cette énergie deviendrait plus polluante que le charbon. Cela entraîne également des gaz à effets de serre, ce qui contribue fortement au réchauffement climatique.
– Pour notre santé par la pollution de l’eau, de l’air et de nos sous-sols.
Voici un extrait du message du collectif anti gaz et pétrole de schiste :
Nous sommes en train de nous battre contre le Ministère de l’Écologie qui tient un double discours.
Au lieu d’assumer pleinement sa position (« on est pas si contre que ça, on est même un peu pour »), un moyen « subtil » est mis en œuvre:
• laisser les pétroliers faire des procès contre l’État (environ 25 procès depuis le mois de janvier)
• ne pas se présenter aux audiences (l’État ne présente aucune défense, ne répond pas aux convocations, ne rédige pas de « mémoires en défense »)
• perdre systématiquement tous les procès (au nom de l’adage « les absents ont toujours tort »)
• et nous dire ensuite « vous voyez bien, nous on est contre le pétrole de schiste, mais la justice a tranché, on est obligé de signer les permis ».
C’est la manœuvre contre laquelle nous nous battons depuis plusieurs semaines.
Le paroxysme a été atteint vendredi 8 : les représentants des collectifs agissant en Seine et Marne ainsi que les élus de ces territoires avons été convoqués par le ministre.
Nous l’avons entendu nous dire: « je suis d’accord avec vous, vous me connaissez, je me suis battu contre les OGM, contre les permis de recherche de gaz de schiste, mais là, je n’y peux rien, l’État est condamné par la justice, il faut qu’on signe, si on ne ne fait pas, ça coûtera encore plus cher« .
Nous avons dénoncé ces propos.
Non, la justice n’a pas condamné l’État à signer, elle a condamné l’État à justifier son refus de signer des arrêtés de mutation de permis de recherche exclusif d’hydrocarbures.
Aujourd’hui nous dénonçons la manipulation dans laquelle on souhaite nous engluer.
Non, l’État n’a pas l’obligation de signer ces documents.
Ces arrêtés de mutation ne doivent pas être signés.
(…)
Pour connaître les dernières informations concernant la signature des arrêtés de mutation, quelques liens:
• le communiqué de presse des collectifs présents à la réunion du 08/11
• une excellente tribune d’Arnaud Gossement, publié sur le site de Terra Eco
Nous n’avons qu’une seule arme : notre parole. Signez la pétition !
Appel à tous les Européens : une pétition en ligne demande à l’UE d’arrêter le massacre avec sa nouvelle loi sur le monopole des semences, signez-la et diffusez-là s’il vous plaît c’est vital !
Delf vous explique ici quelques conséquences pratiques de cette loi inique. Il y a même une chouette vidéo pédagogique. Et non ce n’est pas de la science-fiction malheureusement !
« Tant que la croyance subsistera qu’il faut obéir aux lois même quand elles sont injustes, l’esclavage perdurera. » (Gandhi)
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PS : Il y a quelques semaines, 11 citoyens belgikistanais étaient reconnus coupables d’association de malfaiteurs pour avoir participé à un arrachage de patates ogm dans un champ qui était illégal ! Si ce précédent confirme après le recours, ce serait extrêmement grave et préjudiciable pour notre démocratie – enfin le semblant de démocratie qu’il nous reste…
L’interdiction de certains pesticides sur certaines cultures à certaines périodes de l’année pour une période limitée à 2 ans (càd inférieure à la rémanence desdits pesticides dans le sol !) se révèle un leurre complet qui pourrait déboucher, en grossissant à peine le trait, sur un hypocrite « ah vous voyez bien, les abeilles continuent à crever, c’était pas nous, aucune raison d’interdire nos produits ! »
Signez et faites suivre svp !
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edit> Une amie m’a fait suivre un lien qui tourne contre Pollinis. Voici ce que je lui ai répondu :
Je suis tout à fait consciente de cela, je ne donnerais pas 1 euro à Pollinis qui surfe sur la vague et dont les tarifs de « parrainage » sont effectivement du foutage de gueule, mais leur pétition est bien argumentée, circule un maximum et a un poids médiatique auquel les politiciens ne peuvent qu’être sensibles. Ce qui est le but. J’ai donc signé.
Je ne compte pas sur eux pour préserver les abeilles sur le terrain, pour cela j’agis par moi-même et avec d’autres apiculteurs locaux et associations de sauvegarde dont le travail est admirable et constant depuis des années. J’utilise juste Pollinis pour peser sur les décisions politiques via leur pétition, et je pense qu’il serait dommage de s’en priver (et d’en priver les abeilles) !
Voici une autre illustration de l’urgence : 35 ruches (soit environ 2 millions d’abeilles en cette période) décimées en 1/2h du fait de la pulvérisation d’un champ… 😦
Copié-collé venant de la pétition française :
Depuis plus de 50 ans, les pratiques agricoles industrielles qui polluent le sol, l’eau et l’air ont été subventionnées et encouragées, alors que l’agriculture de qualité a largement régressé. Avec près de 50 milliards d’Euros annuels, la Politique Agricole Commune représente 40% du budget européen. Ainsi, ce sont vos impôts qui sont gaspillés.
Les dommages pour nos campagnes et notre agriculture sont frappants : en Europe 3,7 millions d’emplois agricoles ont été perdus au cours de la dernière décennie, et 300 millions d’oiseaux des champs ont disparu depuis 1980. En France, 91% des cours d’eau sont contaminés par les pesticides. C’est inacceptable ! Le temps est venu de transférer les aides publiques vers des pratiques agricoles qui respectent l’environnement, et permettent de produire une alimentation saine aujourd’hui et pour les générations futures. Il est plus que temps d’avoir une politique agricole qui bénéficie à la société dans son ensemble.
Si vous ne voulez pas que vos impôts subventionnent des pratiques qui dégradent l’environnement et les paysages et contribuent à la diminution du nombre d’emplois en agriculture, demandez à vos députés européens de voter mi-mars pour une politique agricole plus verte et plus juste. Pour la première fois depuis 50 ans les députés européens sont en mesure d’orienter la Politique Agricole Commune vers plus de durabilité et moins de gaspillage d’argent public. Il s’agit d’une occasion à ne pas manquer !
Pour les Belges : lien vers la pétition
Pour les Français : lien vers la pétition
De nombreux universitaires sont entrés en résistance. Ils veulent un retour aux sources.
Extraits de La Libre, 01/04/2012
D’un côté, les savoirs, l’analyse critique, la réflexion. De l’autre, l’efficacité, la rentabilité, la compétitivité. D’un côté, les missions originelles de l’université. De l’autre, l’université telle qu’elle est devenue aujourd’hui. Entre les deux, une évolution néfaste, qu’il faut non seulement dénoncer, mais aussi combattre. Voilà résumée la quête dans laquelle s’est lancée une frange de plus en plus large du monde universitaire belge. Réunis autour d’un « Manifeste pour des universités à la hauteur de leurs missions« , ils se comptent par centaines. Vendredi soir, ils étaient plus d’un millier (de Belgique et d’ailleurs, universitaires et autres) à l’avoir signé, indiquant par là qu’ils soutenaient le mouvement, mais aussi qu’ils s’engageaient « à résister au processus de délitement et à agir personnellement en vue de retrouver une université à la hauteur de ses missions » .
(…)
Rappelant les trois missions de base de toute université (enseignement, recherche et service à la société), les auteurs insistent sur les finalités de celles-ci : conserver, produire et transmettre les savoirs, ainsi que les controverses qui les accompagnent ; former les étudiants aux méthodologies de recherche, à l’analyse critique, à l’exercice d’une activité professionnelle experte et responsable ; alimenter la réflexion de la société.
Ceci posé, ils doivent constater que « les modes de gouvernance actuels des universités vont à l’encontre de cette vision« . « Le projet proposé aux universités est celui de devenir des instances d’un maximum de production en un minimum de temps, de chercheurs et professionnels adaptés aux exigences du marché, flexibles et concurrentiels – le progrès de l’humanité se mesurant en termes de croissance économique et d’avancées techniques, et celui des universités en termes de ‘masses critiques’. »
Et de dénoncer les conséquences de cette évolution : rankings, évaluations selon des critères étroits, compétition, course aux publications dont le nombre peut prévaloir sur l’intérêt intrinsèque, bureaucratie, prépondérance de la taille et de la réputation des équipes de recherche dans l’attribution des financements, chasse aux étudiants, risque de disparition de disciplines peu fréquentées, accent mis sur les savoirs utilitaristes et vendables aux dépens des sciences fondamentales et de savoirs humanistes
(…)
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Pour lire et signer le manifeste, c’est par ici (fr) !
To read and sign the manifesto for universities that live up to their missions, click here (en) !
Signez la pétition (européenne) pour une protection de l’apiculture et des consommateurs face au lobby des OGM : http://www.ogm-abeille.org
Extrait de ce site :
L’impossible coexistence « OGM / apiculture » établie par la justice
Depuis l’apparition des premières cultures d’OGM en Europe il y a quelques années, les apiculteurs ne cessent d’alerter les pouvoirs publics sur l’impossible coexistence entre ces cultures et l’apiculture. Sous l’influence du lobby OGM et semencier, la Commission Européenne et les autorités nationales sont jusqu’à présent restées sourdes à cet appel.
Or, un apiculteur allemand qui a constaté la présence de pollen de maïs OGM MON 810 dans son miel a intenté une action en justice. Le 5 septembre 2011, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a décidé qu’un tel miel ne pouvait pas être commercialisé.
(…)
Je vous invite vivement à signer (et diffuser !) la pétition en ligne « Osons la Bio » pour interpeller les candidats à l’élection présidentielle française de 2012. Le but est de mobiliser les moyens nécessaires pour atteindre 20% d’agriculture bio en 2020.
Élaboré par les paysan(ne)s, consommateurs et associatifs bio, le « Cahier bio (fichier pdf) » recense 20 mesures et orientations pour un développement de la bio cohérent, solidaire et efficace. Il est plus que temps !
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